Il y a une pureté du mal, une lumière du noir. ( Kristen )

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« Ma rageuse passion imposait à la très chère les plus cruelles pratiques de la dépravation. »
Oscar Vladislas de Lubicz Milosz

La masse qui s'étala contre lui le fit émergé petit à petit de son profond sommeil. Il ne savait pas exactement l'heure qu'il pouvait être, mais une chose était certaine, le soleil avait l'air levé depuis bien longtemps. Ses rayons transperçaient les paupières closes du jeune homme qui tentait vainement de recouvrer le sommeil. Après quelques instants de lutte, il décida tout de même d'affronter ce qui allait être une journée des plus soporifiques. Il détestait le réveil, ce moment sans but et torturant, le moment où le rêve s'achève brutalement et que la dure réalité refait surface, ce moment. Il tourna la tête et aperçut un visage angélique calé sur le coin de l'oreiller. Il arrêterait sous peu de corrompre de pauvre âmes purs par vengeance, c'était stupide et puérile. Il passa ses doigts sur son visage rugueux marqué par la fatigue et tenta de se relever du couchage. Il balaya les draps de la main et s'essaya sur le rebord du lit dur et inconfortable. Il lui fallu quelque temps pour émerger ; La nuit précédente n'avait pas été de plus reposante et toutes les substances qu'il avait ingurgitées dans la soirée se braquaient à présent contre lui en lui faisant faire face à sa misérable existence. Il resta un moment de cette façon, le regard vide perdu dans l'infinité de la pièce déserte. Rien ni personne ne pouvait l'empêcher de penser. Il reposa ses coudes sur ses genoux et se tint la tête, glissant ses doigts dans ses cheveux désordonné lorsqu'il entreprit sérieusement de se lever. Lentement il regagna le milieux de la pièce et ramassa son jean déchu qu'il enfila à la hâte. Ne prenant pas soin de l'attacher il s'approcha de la fenêtre et l'ouvrit. Un vent d'air froid s'engouffra dans l'appartement et alla titiller les draps dans lesquels dormait paisiblement la jeune fille. Il chercha dans sa poche de quoi combler son manque et sortit sa clope matinal. Il la pinça entre ses lèvres et l'alluma dans la foulée. Le bien que lui procurait cette intoxication était inexplicable aussi inexplicable que la raison pour laquelle il était encore là, ce qui était pour le moins, inhabituelle.

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Il y a une pureté du mal, une lumière du noir. ( Kristen ) Gui510

Kristen J. Petterson && Nate J. Holland

La nuit avait été courte, quand on se couche à trois heures du matins et qu'on s'endort deux heures après normal. Il devait être environ neuf heures du matin puisque le soleil était déjà levait. Je sentis une main douce passait sur mon visage, c'est sur je n'étais pas chez moi. La personne à côté de moi s'assit puis se leva, elle alla ouvrir la fenêtre et je reçu un courant d'air. J'ouvris mes yeux et regarda cette personne, si ma mémoire est bonne c'est Nate. Oui il est à la même université que moi en 4ème année, option poésie. Je l'aime bien, il est sympa mais je crois que hier soir on était bourré du coup on à fini ensemble dans le lit. J'étais inconsciente des gestes que je faisais et je ne sais même pas si j'en avais envie. Je leva un peu ma tête et l'appuya sur ma main. Le lit n'était pas très confortable mais ses bras à lui l'était, en plus d'être doux il était chaud ce qui m'a réchauffait tout au long de la nuit. Je souris en le voyant à la fenêtre avec comme habitude une cigarette. Je m'assis, pris une chemise à lui un peu grande et m'avança vers lui tout en disant.

Kristen || « Salut, sa va ? »

La compagnie des garçons ne me déranché pas même le soir ou la nuit. Certe j'ai couché avec un autre garçon que lui parce que j'étais bourré et cela mais cela mets arrivé une seule fois c'était la deuxième là. Donc c'était la toute première fois que je le fessais avec Nate, je ne me souviens plus si c'était bien ou pas. Peut être que je recommencerais avec lui mais cette fois sans être bourré. Je me mit au rebord de la fenêtre et lui souriat tout en passant ma main dans mes cheveux décoiffés. Je pris une cigarette, l'alluma et fuma avec lui. C'était peut être une drogue qui nous bouffé les poumons mais je n'en abussé pas trop non plus car je dois tenir le coup avec les cours et si je me bouffe les poumons je peux dire adieu à une carrière de chanteuse.

Le panorama sur la 34eme était splendide. Toute l'agitation de la vie même était ici, au pied de ce building. Nate s'accouda au rebord de la fenêtre et observa les alentours ; une énorme affiche du tout dernier Speilberg surplombait le « Bread Factory » où il avait croisé plusieurs fois l'antique Anna Nichol Smith. Il reçut une petite pointe au cœur à la pensée même qu'il est pu quelques mois auparavant éprouvé de la pitié - aussi exécrable fut-elle - pour une personne à présent décédé. Il secoua la tête afin de chasser ses pensées, il ne voulait en aucun cas s'attirer les foudres d'une défunte. Il se retourna alors entendant le lit grincer sous les mouvements de l'inconnue et se concentra sur quelque chose de plus actuel. Il prit une bouffé en admirant son corps se mouvoir à travers le tissu blanc. Il l'avait ramenée d'un coin pommé de la 1ere Avenue, le « Cheap Shots », un bar miteux où il n'avait jamais mit les pieds avant la veille mais qui fourmillait de merveilleuses distractions. Il se gratta le front se maudissant toujours d'être l'être aussi peu catholique qu'il était mais, la jouissance que lui apportait sa vie l'empêchait de changer. Elle s'extirpa du couchage exhibant sa silhouette semi-dénudé et attrapa la chemise qui traînait près du chevet. Adossé au cadran de la fenêtre il continua rassasié de contempler le spectacle qui s'offrait à lui. Il sourit apportant la cigarette à sa bouche puis recracha la fumée, figé de son air taquin en la voyant approcher. Elle prit place à ses côtés l'enivrant de son parfum aguicheur. Elle lui demanda de sa voix semi-éveillé comment il allait. Il posa ses yeux sur la jeune fille mais ne répondit pas, il se reporta au vide se tenant face à lui, prit une énième émanation et hocha les épaules. Un sourire lui vint lorsqu'elle se plaça sur le rebord de la fenêtre sur d'elle, dans une position plus qu'alléchante et qu'elle prit à son tour une cigarette. Il aimait les femmes avec de l'aplomb mais il voyait dans les yeux de cette jeune fille qu'elle était beaucoup plus fragile qu'elle n'y paraissait. Ceci l'amusa. Il reposa ses coudes sur la bordure à hauteur de ses épaules et sourit. Elle passa une main dans ses cheveux ébouriffé et reprit une bouffée. Il ne connaissait pas son nom et il aimait ne pas le connaître. Ainsi il restait dans une phase de mystère. Ceci l'amusait d'autant plus. Il se redressa et se plaça face à elle, explicitement il la saisi par les hanches et lui déposa un doux baiser à la commissure des lèvres. Il examina chaque parcelle de son visage respirant la jeunesse et une question lui vint à l'esprit.

__ « Quelle âge as-tu ? » lui demanda-t-il de sa voix rauque matinal, sourcils froncés.

La compagnie des garçons ne me déranché pas même le soir ou la nuit. Certe j'ai couché avec un autre garçon que lui parce que j'étais bourré et cela mais cela mets arrivé une seule fois c'était la deuxième là. Donc c'était la toute première fois que je le fessais avec Nate, je ne me souviens plus si c'était bien ou pas. Peut être que je recommencerais avec lui mais cette fois sans être bourré. Je me mit au rebord de la fenêtre et lui souriat tout en passant ma main dans mes cheveux décoiffés. Je pris une cigarette, l'alluma et fuma avec lui. C'était peut être une drogue qui nous bouffé les poumons mais je n'en abussé pas trop non plus car je dois tenir le coup avec les cours et si je me bouffe les poumons je peux dire adieu à une carrière de chanteuse. Il haussa les épaules en guisse de réponse à ma question. Puis il me prit par les hanches et me déposa un doux baiser à la commissure de mes lèvres. Je souris je voulu l'embrasser quand il me posa une question.

Nate || « Quelle âge as-tu ? »

J'haussa les épaules à sa question et ala m'assoir sur le rebord du lit. A près tout pourquoi répondre à sa question vu qu'il n'avait pas répondu à la mienne. Je souris et dans un profond soupir répondu.

Kristen || « J'ai 18 ans, pourquoi ? L'amour n'a pas d'âge non ? »

Je laissa sortir un petit rire à ma propre réponse et le regarda. Je ne savais pas pourquoi il voulait savoir mon âge alors qu'il ne connait pas mon prénom. Moi je connais le sien car beaucoup d'amies m'ont parlé de lui mais sans plus. Je regarda le plafond, l'air ailleurs et je dis.

Kristen || « Et toi quel âge as tu ? »

Spoiler:

» Kristen Petterson || 06-50-21-18-72
» Kristen J. Petterson || FINI
» Ce qui me touche c'est le bruit de tes pas || Kristen Topic's
» Etre ou ne pas Etre, T'elle est la question || Link's for Kristen